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Conférence de presse vendredi 28 novembre 2008 à 11 heures
Dans les cités, le virus du sida a marqué toute une génération, sacrifiée à la seringue, à la prison, à la Double Peine.
Après des années de laissez-faire des pouvoirs publics, un sur dix contaminés a survécu.
Si, vingt ans après leur mise en vente libre bien tardive, les contaminations par le partage de seringues sont devenues rares, une nouvelle génération risque gros face au sida et aux hépatites.
Pour que l’histoire ne se répète pas, la conférence de presse « Génération sacrifiée en banlieue, 20 ans après » donnera la parole à des survivants et combattants des années héroïne-sida qui témoigneront en présence d’un nombre exceptionnel de personnalités solidaires du rap et du hip hop, du spectacle, des hôpitaux, etc., et annoncera le 4ème Méga Couscous des familles, grand repas de solidarité pour fêter notre résistance face à l’injustice de la maladie.
Les invités de la Conférence de presse « Génération sacrifiée en banlieue, 20 ans après »
Pour participer ou assister à la conférence de presse : 06 79 78 59 23
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Tout sauf le respect : à Marseille, des vidéoactivistes programment un film du Ministère qui nous réduit au silence
salut
je vous remercie a tous les services
et je veux des magazines ou brochure pour beaucoup des informations sur m’adresse :
SAMIR DAAS* OULED TEBBEN19285 SETIF* ALGERIE
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Tout sauf le respect : à Marseille, des vidéoactivistes programment un film du Ministère qui nous réduit au silence
salut j’aimerais me rendre utile j’habite marrakech depuis juillet je viens de paris et sa banlieu je voudrais connaitre les associations qui existe ancienne tox j’ai hc non actif mes enfants vont a l’ecole toutes la journée moi j’aimerais faire profiter les autre de mon expérience j’ai connu le bus de femmes ,sleep off sos drogue intérnationale a qui je doit mon salut merci nadia
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Génération sacrifiée : Retour sur les années 70 et l’arrivée de l’héroïne dans les cités (partie I)
je pense que nos politique ne sont pas les seules a nous observer et que d autre pays ou des mafias locales profitent de la faiblesse la ou elles se trouve .le petit peuple n intéresse personne, avant l héroine c était l alcool qui faisait des ravages et la France a un lourd passé avec cette substance, quand au psychotrope largement consommé dans notre pays prouve qu un déséquilibre existe depuis longtemps et qu il est connu, donc utilisé par des puissants qui eux aussi veulent profiter de la faiblesse d une partie du peuple .c est comme ça que fonctionnent les prédateurs .(les pires)les Anglais se sont amusé en Chine avec l opium pour mettre a genou le peuple a une époque.
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Le témoignage de Mano Solo : « Un volet s’ouvre et laisse entrer un peu de soleil »
qu est ce que cet article fait en première page ? LOL ça date de 1997. DIEU MERCI cet interview est totalement dépassé..
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cet toi qui n’a rien comprit que sa date de 1997 ou 1980 c est pareil ce qui dit est vrai et ce type est génial j’apprécie beaucoup sa façon d’être et sont comportement et son esprit si la moitié des personnes dans cette putin de société pourrait réagir pareil ...en tout cas pour moi c’est lui et au moins ces textes veulent dire quelque chose pas comme les chanteur de maintenant voila ce que j’avait a dire ..je voudrait tellement rencontré ce type .......tous ce que j’ai lu ma foutu les frissons CETTE PUTIN DE VIE EST UN COMBAT QU IL FAUT GAGNER !!!louisa.
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Salut Louisa, tu parles comme ma soeur cadette Louisa, elle manque toujours de tolérance mais bon c’est ma frangine et je l’adore mais essaie de rester zen et de ne pas juger avant le peut etre grand jugement, il y a des choses qui ne sont pas simple de dire et de faire comprendre, essaie d’etre un peu plus souple dans ta façon de parler aux autres. Amicalement, Victoire
Le témoignage de Mano Solo : « Un volet s’ouvre et laisse entrer un peu de soleil »
Le témoignage de Mano Solo : « Un volet s’ouvre et laisse entrer un peu de soleil » -
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hé ouai ta rien compri, il es en 1ér page paske c lui le meilleur,moi jcroi plutot ke c toi ki es dépasé. Lui c t un grand et dans mon coeur il réstera grand,
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J’ai un problème avec mon PC pour répondre à une personne qui m’a envoyé 1 mail en me diant que je la réconfortais car je me trimballe le VIH depuis + de 20 ans. La réponse est évidente, oui je prends la trithérapie depuis qu’elle existe et je me soigne pour les autres petits bobs du genre rhume, etc. Je ne rigole pas avec ma santé et c’est pour cela que je résiste, je ne me considère pas comme une vieille fille à 46 ans, je vais très bien, prendre mon traitement est entré dans mes habitudes depuis + de 20 ans. C’est cool à la fin avril avec l’association nAIDES il y a unne sortie de prévue à la montagne à la montagne ( Arles sur tech= dans un club sportif là où l’équipe de france de foot se préparait j’y suis déja été et c’est saune, hammam à gogo dans un cadre sympa, repas entre séropositifs de Perpignan. La 1ère fois où j’y suis allée j’ai pu prendre mon chien, je suis du genre romantique et avec mon copin et mon chien c’était ballades et repos, cool ! Bises et pensées à tous, Victoire
Le témoignage de Mano Solo : « Un volet s’ouvre et laisse entrer un peu de soleil »
Le témoignage de Mano Solo : « Un volet s’ouvre et laisse entrer un peu de soleil » -
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Séropo et Indigène : Cocktail destructif !
"propager les épidémies devient rapidement un instrument des colonisations."
C’est comme la Peste Noire au Moyen-Age (...noire...) et la Grippe Espagnole en 1917 (...espagnole...).
Moi je vais me faire soigner au Maghreb et en Afrique, tout est gratuit, le materiel est tout neuf et le personnel tres qualifie. D’ailleurs, il y a des specialistes du Monde entier qui viennent sur le continent africain car ils savent que ces pays investissent beaucoup dans la recherche et la medecine pour tous.
En tout cas, votre article est tres interessant et va au fond du probleme : Le Sida, c’est la faute des autres.
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Un site BBR a mis en lien cet article, ce qui explique les commentaires reçus jusqu’ici.
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S’il s’agit d’écouter les survivants de la génération toxico, peut-être faut-il les écouter tous. Et aussi, ne pas plaquer a posteriori une seule analyse, une seule causalité sur leur histoire.
Dire que la colonisation, et ses suites est une partie du problème, c’est juste. En faire la grille principale d’analyse, ça me semble tout simplement faux et contradictoire avec ce que portait la jeunesse des quartiers et d’ailleurs dans ces années là, la domination qu’elle a subie, mais aussi ses rêves et ses révoltes.
Ce que cherchait à détruire le pouvoir dans ces années là, ce n’est pas seulement la lutte contre le racisme, contre les crimes policiers, mais aussi tout ce qui restait des utopies en actes des années 70, mais aussi cette révolte inconditionnelle contre toutes les formes d’oppression économique, sociale, religieuses, familiales. Dans cette révolte, se sont retrouvés des jeunes issus de l’immigration, mais aussi beaucoup de jeunes souchiens, comme vous dites , pourquoi pas, ça sonne pas si mal. Mais aussi beaucoup de ces moitié-moitié, moitié petits enfants de colonisés, moitié petits enfants de colon.
Génération du béton, génération sans mémoire, ni celle des luttes de ce pays, ni celles des luttes de leurs parents africains ou maghrébins. Génération laissée à elle même par les militants de partout, et dont la révolte a effectivement été brisée par tous les moyens nécessaires, de la répression à la came.
Ce que je n’aime pas, chez les Indigènes, c’est encore une fois cette construction a posteriori de l’Histoire par ceux qui ont les moyens intellectuels et matériels de l’écrire.
Si aujourd’hui la ségrégation et la racialisation de l’espace urbain sont achevées, il ne faudrait pas oublier que ce n’était pas le cas jusqu’à la fin des années 80 et même un peu au delà, et que les pauvres de toutes origines y vivaient ensemble. Que toute une génération a rejeté toute appartenance communautaire, et que ça chauffait autant à la maison pour ceux qui trainaient avec des Français que pour les français qui avaient des parents au Front ou au Pc d’ailleurs. Il ne s’agit pas de dire que les jeunes issus de l’immigration ne subissaient pas une oppression bien plus grande au niveau social et économique mais qu’il y a eu une tentative, un rêve d’y résister ensemble, à partir du grand néant idéologique , du désert des luttes collectives de ces années là.
J’ai pas l’impression que cette dimension là apparaisse dans ce texte, et pourtant elle est fondamentale, elle est un fait qu’on ne peut pas éluder sans réduire encore une fois les morts au silence.
Bien sûr on peut critiquer ce rêve commun, on peut même dire que les jeunes issus de l’immigration auraient mieux fait de se rattacher à leur histoire, auraient mieux fait de ne pas oublier, on peut aujourd’hui tenter une autre hypothèse.
Mais ça n’empêche pas qu’une génération de pauvres a lutté, a souffert, et a pris de plein fouet l’épidémie ensemble.
Maman souchienne, père indigène, et nique sa mère la réinsertion, de toute façon.
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Enfin des propos qui tiennent la route ça devient si rare dans ces colonnes qu’il faut le souligner ...
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enfin une réaction je suis de tout coeur avec vous. mais pensez au association qui joue le jeux du gouvernement car il sont pris dans le piége a sarko et il parle de nous beur coinfecté de la premiere vague. a quand ont réagira avec cohéence et arreterront’ils la réunionite de l’action vicerale ne serais pas un luxe aujourd’huit bendevals
Séropo et Indigène : Cocktail destructif !
Séropo et Indigène : Cocktail destructif ! -
Séropo et Indigène : Cocktail destructif ! -
Séropo et Indigène : Cocktail destructif ! -
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